Mardi (09/02/10)
05/02/2010
Monsieur, Madame, cher jeune, cher âgé,
C'est dans cette lettre intime que la musique se cache. Trouvez-là.
J'aurai pu expérimenter ce voyage à l'encre invisible sur chaque page,
sur toute une table géothermique, près de geysers. Mais cela était trop
intime, et, moi, moi, Moi ! je préfère la censure, je préfère voyager
dans chaque recoin de mon imagination sans limites, sans sens :
l'anonymat, la neutralité, la spontanéité.
Je vous, je te laisse sur cette idée, coquette et ouverte.
Cher lecteur, chère lectrice, cher ami,
Bonne suite de lecture.
Quelqu'un qui...
Murmuré par aileapart, à 19:14 dans la rubrique Ballon Rouge..
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Vendredi (01/01/10)
Mardi (18/04/06)
La vieille dame se réveille après une nuit presque blanche, il est près de midi, elle a enfin pu s'endormir au lever du jour. Maintenant qu'elle est à la retraite et qu'elle n'a rien à faire de sa journée, peu importe à quelle heure elle se lève. Si encore son petit vieux était là... Mais il n'est pas là, elle n'a pas de chat à nourrir, pas de chien à sortir, elle est libre de faire ce qu'elle veut du temps qu'elle possède.
En robe de chambre elle va dans le salon. Elle allume la "télé", comme ils disent, tous ces jeunes, tous ces gens, maintenant on raccourcit tous les mots qu'on peut, pour gagner du temps qu'ils disent. Parce que le temps c'est de l'argent, alors on va pas le perdre pour dire la fin des mots pour que tout le monde comprenne mieux de quoi on parle. Il faut dire aussi que maintenant le français se fait anglais, ou alors on le tourne à l'envers. Ca ne fait pas gagner du temps, mais c'est pour se donner un genre, sans doute, comme les vêtements rikikis qu'elles mettent, les jeunes filles d'aujourd'hui... Ah la la, dans quel monde est-ce que je suis. "Remarque que si j'avais leur âge, je ne m'en priverai sans doute pas" sourit-elle.
Elle sait qu'à midi beaucoup de chaînes lancent des jeux, des quiz qui demandent à la tête de réflechir, ça lui ferait du bien de se rappeler ses connaissances.
"5 noms communs qui finissent par -iste"
Voyons.. Botaniste, chauffagiste, herboriste, pompiste, tiens, ah oui, piste, j'avais oublié, oui, la jeune femme s'en sort mieux que moi !"
Au bout d'une demi-heure elle a envie de se dégourdir les jambes. "J'ai bien envie de sortir" se dit-elle. Toujours en robe de chambre, elle ouvre la porte d'entrée, sort, et la referme. C'est alors qu'elle se rend compte qu'elle a oublié de prendre ses clefs, elle est coincée devant chez elle. Elle écarte cette idée loin d'elle, tout en se disant qu'elle se trompe, qu'elle les a sur elle, et descend l'immeuble en prenant les escaliers, l'ascenseur étant bouché. Elle est contente de pouvoir prendre l'air, elle ira sans doute au parc s'assoir au soleil pendant quelques minutes.
Elle sort de l'immeuble, elle sent un courant d'air, elle tourne à gauche et s'arrête pour regarder la vitrine de la boutique de grossistes. Les belles robes de soirée à prix étincelants, dans le temps on se les faisait nous mêmes, nos robes de bal, et faut avouer qu'elles n'étaient pas aussi belles que celles-là. Un jeune homme se mets sur le palier de la boutique, un cigarette à la main, et la regarde. Elle se sent appréciée, puis elle se sent observée par les passants, elle ne comprend pas ce qui se passe, puis "ah oui, c'est vrai, je ne suis pas habillée" Elle entre dans la boutique en s'excusant auprès du jeune homme, et, croyant que c'est chez elle, elle fouille parmi les robes celle qu'elle mettrait.
On la regarde bizarrement, on lui propose de s'assoir, oui pourquoi pas, pouvez-vous me faire du thé s'il vous plaît ? Mais qui êtes-vous ?
Elle se sent perdue, puis se souvient qu'elle est dans la boutique voisine de son immeuble, qu'elle est en robe de chambre, et qu'elle n'a pas ses clefs. Elle se sent pressée de rentrer, elle sort vite du magasin, rentre dans son immeuble, et voit le tapis dans l'entrée. Elle le soulève, cherchant ses clefs. Elles n'y sont pas. Elle regarde les murs, le plafond haut, les portes, elle monte les escaliers, les regarde, ne dit rien, espérant les voir apparaître, ses clefs qui se cachent. Elle croit les voir passer devant elle, mais ce n'est qu'une plante en pot qui a bougé à cause du courant d'air. Ah, ça y est, elle les a vu, elles sont cachées dans la terre du pot de fleur.
Elle enlève la terre avec ses mains, se salit, se relève. Non, elles ne sont pas ici. Elle decide de redescendre en bas de l'immeuble, à quelle étage est-elle déjà ? au 5ème, bien sur. Elles sont en bas, elle est sûre de les avoir vues, sous une marche. Elle les descend donc une par une, mais les marches ne changent ni de place, ni de couleur.
Bon. Elle a chaud, elle soif, elle prend l'ascenseur pour monter chez elle, au 7ème étage, pour se faire du thé. Arrivée devant sa porte, elle cherche des poches à sa robe de chambre, oh non, elles se sont décousues pendant la nuit et elle a oublié de les recoudre ce matin ! Elles se sont peut-être enfuies sous la porte ? Elle se penche, son dos lui fait du mal, elle se relève. C'est un tour des voisins, ils lui ont caché ses clefs pendant son absence, ils l'ont cambriolée !
Elle sonne chez eux donc, demande ses clefs. La jeune femme ouvre la porte, la regarde, "mais non, on n'a pas vos clefs, madame. Où est-ce que vous les avez vues la dernière fois ?"
"Chez moi, d'ailleurs je ne les ai pas pris quand je suis sortie"
"Ah, ben elles doivent toujours y être alors"
"Où ça ?"
"Chez vous, madame. Excusez-moi mais je dois partir", elle prend son blouson et sort en lui souhaitant une bonne journée.
La vieille femme... cherche entre les lattes du parquet un moyen pour entrer dans son appartement.
..
En robe de chambre elle va dans le salon. Elle allume la "télé", comme ils disent, tous ces jeunes, tous ces gens, maintenant on raccourcit tous les mots qu'on peut, pour gagner du temps qu'ils disent. Parce que le temps c'est de l'argent, alors on va pas le perdre pour dire la fin des mots pour que tout le monde comprenne mieux de quoi on parle. Il faut dire aussi que maintenant le français se fait anglais, ou alors on le tourne à l'envers. Ca ne fait pas gagner du temps, mais c'est pour se donner un genre, sans doute, comme les vêtements rikikis qu'elles mettent, les jeunes filles d'aujourd'hui... Ah la la, dans quel monde est-ce que je suis. "Remarque que si j'avais leur âge, je ne m'en priverai sans doute pas" sourit-elle.
Elle sait qu'à midi beaucoup de chaînes lancent des jeux, des quiz qui demandent à la tête de réflechir, ça lui ferait du bien de se rappeler ses connaissances.
"5 noms communs qui finissent par -iste"
Voyons.. Botaniste, chauffagiste, herboriste, pompiste, tiens, ah oui, piste, j'avais oublié, oui, la jeune femme s'en sort mieux que moi !"
Au bout d'une demi-heure elle a envie de se dégourdir les jambes. "J'ai bien envie de sortir" se dit-elle. Toujours en robe de chambre, elle ouvre la porte d'entrée, sort, et la referme. C'est alors qu'elle se rend compte qu'elle a oublié de prendre ses clefs, elle est coincée devant chez elle. Elle écarte cette idée loin d'elle, tout en se disant qu'elle se trompe, qu'elle les a sur elle, et descend l'immeuble en prenant les escaliers, l'ascenseur étant bouché. Elle est contente de pouvoir prendre l'air, elle ira sans doute au parc s'assoir au soleil pendant quelques minutes.
Elle sort de l'immeuble, elle sent un courant d'air, elle tourne à gauche et s'arrête pour regarder la vitrine de la boutique de grossistes. Les belles robes de soirée à prix étincelants, dans le temps on se les faisait nous mêmes, nos robes de bal, et faut avouer qu'elles n'étaient pas aussi belles que celles-là. Un jeune homme se mets sur le palier de la boutique, un cigarette à la main, et la regarde. Elle se sent appréciée, puis elle se sent observée par les passants, elle ne comprend pas ce qui se passe, puis "ah oui, c'est vrai, je ne suis pas habillée" Elle entre dans la boutique en s'excusant auprès du jeune homme, et, croyant que c'est chez elle, elle fouille parmi les robes celle qu'elle mettrait.
On la regarde bizarrement, on lui propose de s'assoir, oui pourquoi pas, pouvez-vous me faire du thé s'il vous plaît ? Mais qui êtes-vous ?
Elle se sent perdue, puis se souvient qu'elle est dans la boutique voisine de son immeuble, qu'elle est en robe de chambre, et qu'elle n'a pas ses clefs. Elle se sent pressée de rentrer, elle sort vite du magasin, rentre dans son immeuble, et voit le tapis dans l'entrée. Elle le soulève, cherchant ses clefs. Elles n'y sont pas. Elle regarde les murs, le plafond haut, les portes, elle monte les escaliers, les regarde, ne dit rien, espérant les voir apparaître, ses clefs qui se cachent. Elle croit les voir passer devant elle, mais ce n'est qu'une plante en pot qui a bougé à cause du courant d'air. Ah, ça y est, elle les a vu, elles sont cachées dans la terre du pot de fleur.
Elle enlève la terre avec ses mains, se salit, se relève. Non, elles ne sont pas ici. Elle decide de redescendre en bas de l'immeuble, à quelle étage est-elle déjà ? au 5ème, bien sur. Elles sont en bas, elle est sûre de les avoir vues, sous une marche. Elle les descend donc une par une, mais les marches ne changent ni de place, ni de couleur.
Bon. Elle a chaud, elle soif, elle prend l'ascenseur pour monter chez elle, au 7ème étage, pour se faire du thé. Arrivée devant sa porte, elle cherche des poches à sa robe de chambre, oh non, elles se sont décousues pendant la nuit et elle a oublié de les recoudre ce matin ! Elles se sont peut-être enfuies sous la porte ? Elle se penche, son dos lui fait du mal, elle se relève. C'est un tour des voisins, ils lui ont caché ses clefs pendant son absence, ils l'ont cambriolée !
Elle sonne chez eux donc, demande ses clefs. La jeune femme ouvre la porte, la regarde, "mais non, on n'a pas vos clefs, madame. Où est-ce que vous les avez vues la dernière fois ?"
"Chez moi, d'ailleurs je ne les ai pas pris quand je suis sortie"
"Ah, ben elles doivent toujours y être alors"
"Où ça ?"
"Chez vous, madame. Excusez-moi mais je dois partir", elle prend son blouson et sort en lui souhaitant une bonne journée.
La vieille femme... cherche entre les lattes du parquet un moyen pour entrer dans son appartement.
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Murmuré par aileapart, à 21:49 dans la rubrique Ballon Rouge..
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Dimanche (13/11/05)
Roooo ^^
Murmuré par aileapart, à 21:48 dans la rubrique Auto-Dérision..
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Douce Harmonie.
--> Samedi (22/04/06)
Je me sens île. Île, côté plage, avec du soleil qui enveloppe de douceur mon esprit.
Et l'horizon. La protection qu'offre la masse d'eau.
Je me sens pleine de terres, de forêts et de rivières, je me sens reine de cette île où je me suis posée, détendue. Je me sens bien, il fait chaud, j'ai chaud de l'intérieur, comme dans un bain, comme en vacances.
Sérénité.
Une brise douce.
J'accueille des gens, dans mon île, des gens qui ont besoin de se détendre, de vacances.. de fraîcheur. de sécurité. Venez, par la mer, c'est ouvert à tous ceux qui en ont besoin.
Bien sur qu'il y a des failles, sur cette île, bien sur qu'il y a des cascades, bien sur qu'il y a de la beauté, il y a de tout, de tout pour faire un monde, mon monde.
Et l'horizon. La protection qu'offre la masse d'eau.
Je me sens pleine de terres, de forêts et de rivières, je me sens reine de cette île où je me suis posée, détendue. Je me sens bien, il fait chaud, j'ai chaud de l'intérieur, comme dans un bain, comme en vacances.
Sérénité.
Une brise douce.
J'accueille des gens, dans mon île, des gens qui ont besoin de se détendre, de vacances.. de fraîcheur. de sécurité. Venez, par la mer, c'est ouvert à tous ceux qui en ont besoin.
Bien sur qu'il y a des failles, sur cette île, bien sur qu'il y a des cascades, bien sur qu'il y a de la beauté, il y a de tout, de tout pour faire un monde, mon monde.
Murmuré par aileapart, à 21:43 dans la rubrique Actualités.
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Vendredi (03/11/06)
L'Inutile personne voudrait pleurer sa non-existence. Mais les larmes refusent de se déplacer pour si peu.
Murmuré par aileapart, à 18:06 dans la rubrique Actualités.
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Vendredi (20/10/06)
Vie sans débordements anarchiques.
--> "Moins dix ans en douze semaines"
J'ai plein de trucs, mais c'est faux, j'ai pas grand chose à moi, sauf ce que je cache. Le reste on me l'arrache, on le salit, on l'utilise, on le prend, et on appelle ça partager. Un peu comme ma vie. Ma. La mienne. A moi. Forcément, si je veux pas qu'on touche à mes affaires, je les brise.
On m'a appris, si quelqu'un te frappe, donne lui un bonbon, il t'aimera. C'est ce que j'ai fait, et il en restait plus pour moi, de bonbons. Pas que tout le monde frappait, mais que c'est bon des bonbons. Je me dis que c'est une manière d'acheter les gens. C'est ce que je retiens. On m'a appris à acheter les gens dès gamine. Je vous achète avec une gentillesse dégueullée. Je vous offre des bonbons, putréfaction. Je m'offre en tant qu'objet, en tant que telle ou telle. Une chose. 'Celle qui'. Je donne ce que j'ai à qui veut. Ce que je suis. A qui en a besoin.
Et je me retrouve avec mon paquet de bonbons vide. Vide à en crever.
Je sais pas aimer sincèrement.
J'ai les larmes aux yeux, ça fait un an.
Ca fait encore un vide. Mais un an ça suffit pas, pour ça. Pour refermer la plaie, mais y a pas de plaie, pas de cicatrice, juste un vide, l'absence morte.
Le diner remonte doucement, le long des tubes souvenirs.
Le temps se fout de nous ; les autres en rajoutent.
Murmuré par aileapart, à 23:39 dans la rubrique Auto-Dérision..
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Lundi (04/09/06)
Il y a des choses qu'on en conte pas.
Murmuré par aileapart, à 15:20 dans la rubrique Actualités.
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Dimanche (11/06/06)
C'est vrai qu'il fait chaud.
--> Et tout ce qu'on dit dans un mot.
J'ai découpé mes pupilles au cutter noir.
L'effet apparaissait, on tatonne avec l'éponge mouillée de sueur évaporée, des trous apparaissent, des trous d'air. Les turbulences qui tremblent l'esprit. Les troubles qu'on cache et qu'on efface, par pudeur de montrer les mains.
De la finesse dans ce trait, ce contour redessiné, des alvéoles et les pétales qui apparaissent sur le blanc, rouges.
J'ai fait une fausse couche.
J'y ai laissé ma peau tendue, comme un trampoline pour sauter plus haut, toujours plus haut, et descendre plus bas, toujours plus bas.
Comme si dans un même souffle tout disparaissait, tout était expiré, qu'il ne reste que l'enveloppe et le cachet de la poste. Et du vide.
On s'éteint si vite. Pour frimer, pour se faire remarquer, pour s'envoler et qu'on le sache, qu'on remue le vide épais de chacun.
J'ai decidé que cette chaise était à deux places, une vide, l'autre occupée.
Les nouveaux pas qu'on regarde se manger et s'étaller sur le sol chaud se multpilient et se divisent en tout temps, et les peaux qu'on lave comme des costumes de foire, avec l'habitude de l'emplacement connu des tâches absentes, qu'elles aimerait qu'on les remarque absentes, et qu'on cherche pourquoi, mais on a beau regarder on voit pas, on a beau voir on reconnait pas.
L'effet apparaissait, on tatonne avec l'éponge mouillée de sueur évaporée, des trous apparaissent, des trous d'air. Les turbulences qui tremblent l'esprit. Les troubles qu'on cache et qu'on efface, par pudeur de montrer les mains.
De la finesse dans ce trait, ce contour redessiné, des alvéoles et les pétales qui apparaissent sur le blanc, rouges.
J'ai fait une fausse couche.
J'y ai laissé ma peau tendue, comme un trampoline pour sauter plus haut, toujours plus haut, et descendre plus bas, toujours plus bas.
Comme si dans un même souffle tout disparaissait, tout était expiré, qu'il ne reste que l'enveloppe et le cachet de la poste. Et du vide.
On s'éteint si vite. Pour frimer, pour se faire remarquer, pour s'envoler et qu'on le sache, qu'on remue le vide épais de chacun.
J'ai decidé que cette chaise était à deux places, une vide, l'autre occupée.
Les nouveaux pas qu'on regarde se manger et s'étaller sur le sol chaud se multpilient et se divisent en tout temps, et les peaux qu'on lave comme des costumes de foire, avec l'habitude de l'emplacement connu des tâches absentes, qu'elles aimerait qu'on les remarque absentes, et qu'on cherche pourquoi, mais on a beau regarder on voit pas, on a beau voir on reconnait pas.
Murmuré par aileapart, à 13:20 dans la rubrique Actualités.
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Mercredi (26/04/06)
Cime en thé.
Tordue.
L'idée tordue.
Une crevasse.
Qu'on remplit.
De mots durs.
Qui tremblent entre les dents, entre la mâchoire et la langue, qu'on écrase, qui se blottit contre le palais, ouvrez la fenêtre, sortez les rideaux !
L'idée tordue.
Une crevasse.
Qu'on remplit.
De mots durs.
Qui tremblent entre les dents, entre la mâchoire et la langue, qu'on écrase, qui se blottit contre le palais, ouvrez la fenêtre, sortez les rideaux !
Murmuré par aileapart, à 17:35 dans la rubrique Actualités.
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Lundi (24/04/06)
Chocolat à l'eau.
--> Bouton de rose.
J'ai le coeur qui fond par le nez. Comme un chewinggum perdu.
Comme un rhume, mais en plastique. Une fausse rage de dents.
Comme un rhume, mais en plastique. Une fausse rage de dents.
Murmuré par aileapart, à 18:39 dans la rubrique Auto-Dérision..
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