C'est vrai qu'il fait chaud.
--> Et tout ce qu'on dit dans un mot.
J'ai découpé mes pupilles au cutter noir.
L'effet apparaissait, on tatonne avec l'éponge mouillée de sueur évaporée, des trous apparaissent, des trous d'air. Les turbulences qui tremblent l'esprit. Les troubles qu'on cache et qu'on efface, par pudeur de montrer les mains.
De la finesse dans ce trait, ce contour redessiné, des alvéoles et les pétales qui apparaissent sur le blanc, rouges.
J'ai fait une fausse couche.
J'y ai laissé ma peau tendue, comme un trampoline pour sauter plus haut, toujours plus haut, et descendre plus bas, toujours plus bas.
Comme si dans un même souffle tout disparaissait, tout était expiré, qu'il ne reste que l'enveloppe et le cachet de la poste. Et du vide.
On s'éteint si vite. Pour frimer, pour se faire remarquer, pour s'envoler et qu'on le sache, qu'on remue le vide épais de chacun.
J'ai decidé que cette chaise était à deux places, une vide, l'autre occupée.
Les nouveaux pas qu'on regarde se manger et s'étaller sur le sol chaud se multpilient et se divisent en tout temps, et les peaux qu'on lave comme des costumes de foire, avec l'habitude de l'emplacement connu des tâches absentes, qu'elles aimerait qu'on les remarque absentes, et qu'on cherche pourquoi, mais on a beau regarder on voit pas, on a beau voir on reconnait pas.
L'effet apparaissait, on tatonne avec l'éponge mouillée de sueur évaporée, des trous apparaissent, des trous d'air. Les turbulences qui tremblent l'esprit. Les troubles qu'on cache et qu'on efface, par pudeur de montrer les mains.
De la finesse dans ce trait, ce contour redessiné, des alvéoles et les pétales qui apparaissent sur le blanc, rouges.
J'ai fait une fausse couche.
J'y ai laissé ma peau tendue, comme un trampoline pour sauter plus haut, toujours plus haut, et descendre plus bas, toujours plus bas.
Comme si dans un même souffle tout disparaissait, tout était expiré, qu'il ne reste que l'enveloppe et le cachet de la poste. Et du vide.
On s'éteint si vite. Pour frimer, pour se faire remarquer, pour s'envoler et qu'on le sache, qu'on remue le vide épais de chacun.
J'ai decidé que cette chaise était à deux places, une vide, l'autre occupée.
Les nouveaux pas qu'on regarde se manger et s'étaller sur le sol chaud se multpilient et se divisent en tout temps, et les peaux qu'on lave comme des costumes de foire, avec l'habitude de l'emplacement connu des tâches absentes, qu'elles aimerait qu'on les remarque absentes, et qu'on cherche pourquoi, mais on a beau regarder on voit pas, on a beau voir on reconnait pas.
Ecrit par aileapart, le Dimanche 11 Juin 2006, 13:20 dans la rubrique Actualités.
Participer au bla-bla :
je ne sais pas
<p>Oops</p><p>Je ne savais pas quel titre donner. j'ai mis je ne sais pas :)</p><p /><p />
oulala
<p>Mon dieu ce code. </p><p>Il est nerveux ce gestionnaire de comms </p><p>Tes yeux sont beaux, ne leur fait pas de mal. Je dis ça en toute objectivité :)</p><p>Buziaka.</p><p />
je ne sais pas
Plein de bonnes pensées pour toi :)
Take care.